Selon lui, au cours de la réunion de Bruxelles, les ministres ont convenu que de tels contacts seraient durables.
« Il a été déclaré à un niveau informel qu’il peut y avoir des interruptions dans les négociations, pendant la période pré-électorale. Nous pensons que la phase pré-électorale n'est pas un obstacle au processus de négociation » a souligné Balayan.
Répondant aux questions des journalistes sur la nécessité pour le ministère arménien des Affaires étrangères d'accroître la dynamique des négociations sur le réglement du conflit du Haut-Karabakh, le porte-parole a répondu: « Nous n'avons pas été passifs ».
Il a également ajouté que les accords conclus après la guerre d'avril 2016, à Genève et à Saint-Pétersbourg, devraient être suivis.
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